PENSEES INDIENNES

Lorsque l'homme aura coupé le dernier arbre, pollué la dernière goutte d'eau, tué le dernier animal et pêché le dernier poisson, alors il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible.

Pour nous, tout au long de notre tradition le guerrier est celui qui peut transformer l'ignorance en action juste. Parce qu'il comprend le processus de la nature. Et pour cela il n'a pas besoin d'arme.

La différence entre les blancs et les indiens, c'est que les blancs pensent que la nature leur appartient, tandis que les indiens pensent que c'est eux qui appartiennent à la nature.

Chaque jour ou je ne suis pas en contact avec mon frère le feu, ma soeur l'eau, mon frère l'air et ma soeur la terre, est un jour perdu.

Dieu fait les questions pour que l'enfant réponde.

"Les deux bêtes les plus gracieuses du monde,

Le chat et la souris, se haïssent. Pourquoi ?

Explique-moi cela, Jeanne. "Non sans effroi

Devant l'énormité de l'ombre et du mystère,

Jeanne se mit à rire. "Eh bien, petit grand père,

Je ne sais pas . Jouons. " Et Jeanne repartit :

"Vois-tu, le chat c'est gros, la souris c'est petit.

Eh bien ? "Et Jeanne alors, en se grattant la tête,

Reprit : "Si la souris était la grosse bête,

A moins que le bon Dieu là-haut ne se fâchât,

Ce serait la souris qui mangerait le chat !".

Victor HUGO

Il y a un passage dans l'enfance ou on devrait noter tout ce que l'on dit, car tout est sage et lumineux.

L'enfance est le sol sur lequel nous marcherons toute notre vie.

La sagesse nous envoie à l'enfance.

La bonté en parole amène la confiance

La bonté en pensée amène la profondeur

La bonté en donnant amène l'amour.

Nous avons si peu l'habitude de la bonté, que nous la confondons en général avec l'idiotie.

Ce qui compte dans la bonté, ce n'est pas le prix qu'elle coûte, c'est le bien qu'elle fait.

Comme pour l'esprit rien n'est trop grand, pour la bonté rien n'est trop petit.

C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert.
A un moment,  ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à  l'autre.
Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable:

AUJOURD'HUI  MON MEILLEUR AMI M'A DONNE  UNE GIFLE.

Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner.
Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva. Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre:

AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A SAUVE LA VIE.

Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda: "quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi?
" L'autre ami répondit: "quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer.
Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer.

APPRENDS A ÉCRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.